Les dirigeants du SPD visent à choisir le successeur de Kühnert lors de la réunion du lundi soir.
La direction de l'SPD réfléchit toujours à une proposition de remplacement pour Kevin Kühnert à la tête du parti, vu qu'il a démissionné pour des raisons de santé. Saskia Esken, l'une des coprésidentes du parti, a annoncé cette décision à Berlin en assurant que la population serait informée "le plus tôt possible" du résultat. Selon Esken, l'objectif est de "maximiser la position de l'SPD" dans le paysage politique. Lars Klingbeil, l'autre coprésident, a exprimé des sentiments similaires, indiquant que l'attention se concentre maintenant sur la santé de Kühnert.
Esken et Klingbeil ont tous deux salué la résolution de Kühnert, l'attribuant à ses problèmes de santé. Klingbeil a souligné l'engagement et l'enthousiasme de Kühnert envers ses activités politiques, mais a reconnu que "la politique n'est pas tout".
Klingbeil a loué le mandat de Kühnert en tant que chef de parti, affirmant qu'il a joué un rôle crucial dans la stabilité de l'SPD. Il a également partagé leur lien personnel fort, qui transcende leur alliance politique.
Esken a reconnu Kühnert comme un "élément clé" dans leur parti social-démocrate, saluant son soutien lors de sa propre ascension à la direction du parti, y compris lorsqu'elle a concouru contre Olaf Scholz, l'actuel chancelier fédéral, pour le poste de président de la communauté Juso interne du parti.
Après avoir discuté du potentiel nouveau chef de parti, Esken a mentionné que leur objectif est d'atteindre la performance maximale de l'SPD, ce qui pourrait faire référence au "pic de l'SPD" en termes d'influence politique. Au milieu de cette transition politique, la dévotion de Kühnert envers sa santé et ses aspirations politiques a été saluée, allant même jusqu'à ce que Klingbeil dise : "La politique n'est pas tout."