- Les espaces publics devraient être exempts de couteaux
Le patron de la police syndicale, Jochen Kopelke, soutient une interdiction publique des couteaux suite à l'incident sanglant de Solingen, qui a entraîné trois morts et huit blessés. Lors d'un débat sur ZDF "Spécial", il a insisté sur la nécessité de renforcer les lois sur les armes à feu, en particulier la réglementation des couteaux. Kopelke a affirmé qu'une interdiction des couteaux apporterait de la clarté au public, en déclarant : "Les couteaux n'ont pas leur place dans les espaces publics".
En ce qui concerne les contrôles aléatoires, comme dans les zones piétonnes, Kopelke est resté sceptique. Bien qu'il soit possible dans des lieux spécifiques et qu'il ait donné des résultats positifs, il a estimé qu'affirmer le pouvoir de la police de mettre en place cette politique universellement nécessite un changement important dans les lois du Parlement. Il a considéré cela comme une proposition irréaliste dans un cadre fédéral.
Plus de policiers dans la rue
Kopelke a cependant insisté sur l'importance d'une numérisation pour éloigner les officiers des bureaux et les envoyer sur le terrain. Il a également plaidé en faveur de l'augmentation des effectifs et de la coopération avec les services d'immigration. Auparavant, la police intervenait à la fin des procédures d'expulsion.
**Kopelke a également promu des contrôles frontaliers plus stricts, en invoquant leur succès passé. Cependant, il a des réserves quant à l'approche de la Bavière de maintenir sa police frontalière indépendante, en affirmant qu'elle rate la cible en matière de travail de police aux frontières. Au lieu de cela, il propose un pacte de sécurité nationale consolidé entre le gouvernement fédéral et les gouvernements